ANECdOTES
Si j’avais un stylo, je serais écrivain, auteur, scénariste et poète. Si j’avais un stylo, je serais dieu au sein des miens ; une idée fixe me survit, une idée fixe me maintient. L’envie de devenir. L’envie d’être malsain pour vos idées trop arrêtées. L’envie d’être Amour – ou même passion. L’envie d’être grand.
Mythomane Alcoolique...
Si je buvais de l’eau, je ne serais rien : voleur je-m’en-foutiste et pwet-pwet. Si je buvais de l’eau, je serais mieux en mon sein. Et plus d’idée fixe sinon l’envie de boire, de continuer à boire. Ne pas se coucher ce soir. Juste coucher mon conscient. Vivre inconscient, vivre inconscient ! Grand.
Mythomane Alcoolique et Poète (ah !ah !)...
Drogué mélancolique ayant le mal d’Amour, libéré de passion : apathique. Drogué mélancolique s’épanche sur son sort, se regarde pourrir, affable spectateur. Je bois de la volvic à mes heures…
Mélomane atomique...
Petit à petit, je vis de moins en moins. Je larve dans mon coin. Je n’écris rien. Alors j’essaie tendrement d’oublier mon orthographe… et bannir cet ‘ alors’ passe-partout lancinant, mot qui ne rime à rien. Animal magicien qui m’abuse souvent, et qui se dit logique, mais n’est qu’un trompe-l’œil. Façade en Face du Fauteuil.
Littérateur Tragique. Poète Pathétique...
Et la phobie, cette phobie de celui qui écrit ; la peur de n’être pas assez, de ne pas, avant d’aller se coucher, tout accoucher. La pression qui me pousse à remplir ce vide, ce vide angoissant du bas de page. Remplir, ne plus rien dire que ce vide insignifiant, agonisant. Trop angoissant à me faire pleurer. Cette pression qui s’applique.
Et la phobie, cette phobie de celui qui écrit ; la peur de n’être pas assez, de ne pas, avant d’aller se coucher, tout accoucher. La pression qui me pousse à remplir ce vide, ce vide angoissant du bas de page. Remplir, ne plus rien dire que ce vide insignifiant, agonisant. Trop angoissant à me faire pleurer. Cette pression qui s’applique.
La Pression en Action...